De même que pour la précédente il faut savoir qu'elle est là, car il n'y a pas non plus de clocher qui culmine loin dans le ciel, ni parc. L'entrée est très anodine.
Et lorsque l'on pénètre dans le couloir, cela ne ressemble pas à une église.






Ici on note que derrière lui la ville est en flamme, car il est réputé pour protéger du feu (qui a ravagé Izmir dans l'histoire).

On remarque d'ailleurs que le peintre, un français du début du 20ème si je ne me trompe pas, s'est représenté lui même, sur les deux fresques; sur cette dernière il s'est montré dans la peau du soldat. On le reconnait à sa moustache franchouillarde.


Un dernier regard avant de sortir.

A l'extérieur on est de retour dans le monde moderne. Le Hilton est à deux pas.

Bien que je sois passé de nombreuses fois à cet endroit, je ne savais pas que se cachait une église derrière ces murs ornés de barbelés.
Les américains vont dans cette église, et on retrouve un garde à l'entrée, la caméra, et un panneau qui indique le niveau de sécurité en cours...

L'intérieur est nettement moins intéressant que celui de Saint Polycarpe.


Et voilà pour la visite de quelques églises d'Izmir. L'occasion de voir Saint Polycarpe était à ne pas manquer. Les visites y sont rares.
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